sexta-feira, 17 de agosto de 2007

Alphaville, un film de Godard

Jean-Luc Godard est un réalisateur franco-suisse, né le 3 décembre 1930 à Paris. Il est aussi acteur, chef monteur, dialoguiste, monteur, producteur et scénariste. Godard est un figure clé de la nouvelle vague. Peut-être il a été le créateur de la nouvelle vague avec François Truffaut. Il est un cinéaste militant et aussi un révolutionnaire de l'art cinématographique.

Après cette aprésentation, on va parler d'un film de Godard qui s'appelle Alphaville. Dabord, il faut qu'on dise que le film est un peu difficile à comprendre. C'est plus que l'histoire, comme tous les films de Godard. Mais ce n'est pas un filme très complexe que ni l'histoire c'est possible de comprendre – comme dans les films postérieur de Godard, quand il a déjà crée un langage cinematographique très particulier et complexe.

Alphaville est un film de 1965. Le titre, “Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution”, évoque un programme de télévision avec le personnage Lemmy Caution, qui est l'acteur Eddie Constantine, comme dans le film. Alphaville est présenté comme un film polar. Et comme dans tous les films polar il y a persécution, univers nocturne, la fatalité, et aussi l'amour à première vue que dans Alphaville se passe entre Lemmy, le détective-espion, et la femme qui est peut-être son pire ennemi.

Mais c'est aussi un film de science-fiction, mais sans effets spéciaux, où l'homme et toute la société son trucident par une logique non-humaine. L'ordinateur, Alpha 60, automatise tout le monde, tous les gens. Quand apparaît le livre “Capital de la douleur”, c'est comme un troisième titre du film, le titre qui parle de la douleur de cette société automatisé.

Alphaville est un film poétique aussi. Tout le temps il fait allusion et citation de la poésie de Paul Éluard, l'auteur de “Capital de la douleur”. Et il y a de la poésie dans le film parce que il n´y a pas de poésie dans Alphaville. Les mots, ils disparaissent aussi comme ses acceptions. Mais c´est plus, le film parle sur la philosophie de langage...

Donc, un film de sience-fiction, un film poétique, et aussi un film mythique. Alphaville évoque un passé et un futur porchain (nazisme et fascisme) mais aussi une époque très ancienne, où la poésie et la nuit a paru exister absolument. Une scène belle c'est quand Lemmy ravit Natascha de la nuit de Alphaville comme l'Orfeu. Lemmy dit: “la poésie transforme la nuit en lumière”. Ça c'est un citation d'Éluard, c'est-à-dire que c'est seulement le plongée dans la nuit que permet le naissance de la lumière et d'un nouveau regard. Et c'est jusquement parce que la poésie était perdue qu'elle brillait constantment dans la nuit d'Alphaville.

Le film se passe dans le futur, mais tout ce qui se voit c'est la Paris de 1960. C´est un film de science fiction, mais se présente comme un polar-noir. En plus, c'est presque un film surréaliste, comme dans la scène sur le judgement.

L'histoire du film, c'est l'histoire de Lemmy Caution, un agent secret, qui arrive à Alphaville pour rechercher le scientifique Von Braun. Guidé par Natasha, la fille de Braun, Lemmy découvre la capitale de la douleur.


"C'est un film sur le futur, mais comme nous vivons dans le futur, c'est un film au futur antérieur, c'est-à-dire au présent. " (J.-L. Godard)

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